Saidi, Mira2025-01-142025-01-142025-01-14https://hdl.handle.net/10986/42678In recent years, violent conflict has spiked significantly, affecting low-income countries in particular, and shaping an increasingly complex fragility landscape. By 2030, over half of the world’s extreme poor are expected to live in countries experiencing fragility, conflict, and violence (FCV). Conflict and poverty are strongly interconnected; not only does conflict compound experiences of poverty, but economic instability, resource scarcity, and state weakness also exacerbate conflict dynamics. In the Sahel, one of the poorest and most conflict affected regions in the world, countries additionally face high vulnerability to climate change and other shocks, and a growing influx of refugees and internally displaced persons (IDPs) is placing further strain on limited services and resources.Ces dernières années, les conflits violents ont a considérablement augmenté, affectant les pays à faible revenu particulière, et façonnant une fragilité de plus en plus complexe paysage. D’ici 2030, plus de la moitié des personnes vivant dans l’extrême pauvreté dans le monde seront s’attendre à vivre dans des pays en situation de fragilité, conflit et violence (FCV). Les conflits et la pauvreté fortement interconnectés ; Non seulement les conflits s’aggravent expériences de pauvreté, mais d’instabilité économique, de ressources La rareté et la faiblesse de l’État exacerbent également les conflits dynamique. Au Sahel, l’un des pays les plus pauvres et les plus régions touchées par les conflits dans le monde, pays en outre, ils sont confrontés à une grande vulnérabilité au changement climatique et d’autres chocs, et un afflux croissant de réfugiés et de les personnes déplacées à l’intérieur de leur propre pays (PDI) pression sur des services et des ressources limités.en-USCC BY-NC 3.0 IGOPEACECONFLICT AND VIOLENCESOCIAL DEVELOPMENTVIOLENCE PREVENTIONPolicy NoteWorld Bank10.1596/42678