World Bank Group2025-10-202025-10-282025-08-01https://hdl.handle.net/10986/43866This regional synthesis report of the Congo Basin Forest Ecosystem Accounts (2000-2020) compiled from data for each these six countries (namely: Cameroon, Central African Republic, Democratic Republic of Congo, Equatorial Guinea, Gabon, and Republic of Congo. Ecosystem accounting enables countries to assess the value of their ecological capital, a key component of national wealth, by monitoring changes in ecosystem extent, condition, and ecosystem services in both physical and monetary terms. The accounts follow the System of Environmental-Economic Accounting (SEEA) Ecosystem Accounting methods, a standardized framework that uses concepts, definitions, and classifications consistent with the System of National Accounts (SNA). The individual country reports are also available. The value of domestic benefits provided by the forest ecosystems is significant, ranging from one percent of GDP for Equatorial Guinea to 15.4 percent of GDP for the Central African Republic. With global climate regulation being especially important, reflecting more than 95 percent of the value in most countries. Forest ecosystems in the Congo Basin retained around 90.9 billion tons of carbon in 2020, equivalent to 333.5 billion tons of carbon dioxide, which is 10x the amount of the total global emissions from the energy sector in 2020 (34.5 billion tons). The total asset value of the Congo Basin’s forests has almost doubled from US$ 12.3 trillion in 2000 to US$ 23.2 trillion in 2020. The overall asset value without the global public good value of climate change regulation stood at US$ 106 billion in 2000 and US$ 154 billion in 2020. While the total asset values are increasing, the per capita values are not keeping up with population growth. If one excludes the global public good value of carbon the picture becomes more negative, with a decrease in per capita of forests across all countries. These accounts should be institutionalized and enhanced periodically to inform policy and planning. The Congo Basin forests offer substantial ecological benefits, many of which remain unmonetized. These forest ecosystem accounts can improve understanding and inform policy development relating to the natural resource management sectors and those that impact on these assets, and on monetization of these critical ecosystem services.Ce rapport de synthèse régional des Comptes de l’écosystème forestier du bassin du Congo (2000-2020) compilé à partir des données de chacun de ces six pays (à savoir : Cameroun, République centrafricaine, République démocratique du Congo, Guinée équatoriale, Gabon et République du Congo). La comptabilité écosystémique permet aux pays d’évaluer la valeur de leur capital écologique, un élément clé de la richesse nationale, en surveillant les changements dans l’étendue, l’état et les services écosystémiques en termes physiques et monétaires. Les comptes sont conformes aux méthodes de comptabilité écosystémique du Système de comptabilité économique et environnementale (SCEE), un cadre normalisé qui utilise des concepts, des définitions et des classifications conformes au Système de comptabilité nationale (SCN). Les rapports par pays sont également disponibles. La valeur des avantages intérieurs fournis par les écosystèmes forestiers est importante, allant de 1 % du PIB pour la Guinée équatoriale à 15,4 % du PIB pour la République centrafricaine. La régulation du climat mondial est particulièrement importante, représentant plus de 95 % de la valeur dans la plupart des pays. Les écosystèmes forestiers du bassin du Congo ont retenu environ 90,9 milliards de tonnes de carbone en 2020, soit l’équivalent de 333,5 milliards de tonnes de dioxyde de carbone, soit 10 fois la quantité totale d’émissions mondiales du secteur de l’énergie en 2020 (34,5 milliards de tonnes). La valeur totale des actifs des forêts du bassin du Congo a presque doublé, passant de 12,3 billions de dollars en 2000 à 23,2 billions de dollars en 2020. La valeur globale des actifs sans la valeur de bien public mondial de la réglementation du changement climatique s’élevait à 106 milliards de dollars américains en 2000 et à 154 milliards de dollars américains en 2020. Alors que la valeur totale des actifs augmente, la valeur par habitant ne suit pas la croissance démographique. Si l’on exclut la valeur mondiale du carbone pour le bien public, le tableau devient plus négatif, avec une diminution des forêts par habitant dans tous les pays. Ces comptes devraient être institutionnalisés et améliorés périodiquement afin d’éclairer les politiques et la planification. Les forêts du bassin du Congo offrent des avantages écologiques substantiels, dont beaucoup restent non monétisés. Ces comptes de l’écosystème forestier peuvent améliorer la compréhension et éclairer l’élaboration de politiques relatives aux secteurs de la gestion des ressources naturelles et à ceux qui ont une incidence sur ces actifs, ainsi qu’à la monétisation de ces services écosystémiques essentiels.en-USCC BY-NC 3.0 IGOFOREST ECOSYSTEMFORESTSBIODIVERSITYCARBON EMISSIONSCLIMATE CHANGECLIMATE FINANCE STRATEGIESCongo Basin Forest Ecosystem Accounts and Policy Recommendations: A Regional Synthesis Report of Ecosystem Extent, Condition, Services, and Asset Accounts 2000-2020Comptes des écosystèmes forestiers du bassin du Congo et recommandations politiques: rapport régional de synthèse sur l'étendue, l'état, les services et les comptes d'actifs des écosystèmes 2000-2020Policy NoteWorld Bank Group