Banque mondiale2022-11-092022-11-092022-10https://hdl.handle.net/10986/38288Les forets apportent une contribution essentielle au développement socioéconomique du Burkina Faso. Dans le même temps, moins de 1% du budget de l’État est consacré à la gestion des forêts. Le manque de financement - à la fois pour l’investissement et le fonctionnement - est l’un des principaux problèmes auxquels le secteur est confronté. En conséquence, les forêts disparaissent. Le Burkina Faso a perdu près de la moitié de ses forêts en 30 ans. Les actions prioritaires sont : (i) Accroître les revenus tirés des forêts ; (ii) Modifier la clé de répartition du prix de vente du stère de bois de feu entre les acteurs et augmenter la part destinée aux communes ; (iii) Augmenter les investissements publics destinés au secteur forestier et le budget qui lui est alloué ; (iv) Faire une plus grande place à la biomasse dans les politiques énergétiques ; (v) Utiliser les fonds carbone comme une opportunité de générer des recettes supplémentaires et (vi) Renforcer les capacités techniques des services forestiers.frCC BY 3.0 IGOFORÊTSSECTEUR FORESTIERBURKINA FASODÉVELOPPEMENT DURABLEGOUVERNANCE FORESTIÈREDÉBOISEMENTDÉGRADATION DES FORÊTSOPPORTUNITÉSReportBanque mondiale10.1596/38288