World Bank2025-07-242025-07-242025-07-24https://hdl.handle.net/10986/43491The agriculture sector is highly vulnerable to climate change. Increasing frequency of droughts, floods, and heatwaves impact crops and livestock yields, exacerbating existing vulnerabilities and threating food security and livelihoods. Over the past two decades, Niger faced at least nine major droughts and five major floods, affecting its rural population and rainfed agriculture. Climate change contributes to the Niger’s food crisis, occurring every four years on average. Future projections indicate significant natural annual variability in precipitation, with an anticipated increase of nearly 25 percent in rainfall during the rainy season by the 2050s. Heavy precipitation events are also likely to occur at least twice as many times resulting in significant flood risk.Le secteur agricole est très vulnérable au changement climatique. La fréquence croissante des sécheresses, des inondations et des vagues de chaleur a un impact sur les rendements des cultures et du bétail, exacerbant les vulnérabilités existantes et menaçant la sécurité alimentaire et les moyens de subsistance. Au cours des deux dernières décennies, le Niger a été confronté à au moins neuf grandes sécheresses et cinq grandes inondations, qui ont affecté sa population rurale et son agriculture pluviale. Le changement climatique contribue à la crise alimentaire du Niger, qui survient tous les quatre ans en moyenne. Les projections futures indiquent une variabilité annuelle naturelle importante des précipitations, avec une augmentation prévue de près de 25 pour cent des précipitations pendant la saison des pluies d’ici les années 2050. Les fortes précipitations sont également susceptibles de se produire au moins deux fois plus souvent, entraînant des risques d’inondation importants.en-USCC BY-NC 3.0 IGOPOVERTYSANCTIONSAGRI-FOOD SYSTEMReportWorld Bank10.1596/43491