Giacobino, HélèneHuillery, EliseMichel, BastienSage, Mathilde2024-02-122024-02-122024-02-12https://openknowledge.worldbank.org/handle/10986/41041Child marriage is recognized as a major burden in low-income countries, with severe consequences on women’s life trajectories. It is particularly pervasive in Niger, where middle school enrollment for girls is low, and dropouts are high. In the context of a multi-sectoral World Bank project, researchers evaluated the impact of a three-year intervention eliminating the financial and logistical barriers for girls admitted to middle school. Offering adolescent girls from vulnerable households in rural Niger scholarships and tutoring upon admission to middle school improved educational outcomes and wellbeing. Girls that received the program were 53 percent less likely to have dropped out of school at the time of follow up. They also reported a higher degree of life satisfaction. Importantly, there is no evidence that the positive effects on beneficiaries have been at the expense of non-beneficiaries. The program was effective in postponing girls’ marriage or engagement. Girls who received a scholarship program were 49 percent less likely to be married in the summer following their third year of middle school and 30 percent less likely to be engaged. The intervention raised girls’ educational and professional aspirations for themselves as well as parents’ aspirations for their daughter, plausibly due to changes in girls’ human capital and preferences. These results suggest that the intervention’s effects are likely to last beyond the mere duration of the scholarship.Le mariage d’enfants est reconnu comme une dans les pays à faible revenu, avec des conséquences sur les trajectoires de vie des femmes. C’est vrai particulièrement répandu au Niger, où l’école intermédiaire Le taux de scolarisation des filles est faible et le taux d’abandon est élevé. Dans le dans le cadre d’un projet multisectoriel de la Banque mondiale, des chercheurs évalué l’impact d’une intervention de trois ans ; l’élimination des obstacles financiers et logistiques pour les filles ; admis au collège. Offrir aux adolescentes de des ménages vulnérables dans les zones rurales du Niger bourses et Amélioration du soutien scolaire à l’admission au collège les résultats scolaires et le bien-être. Les filles qui ont reçu le étaient 53 % moins susceptibles d’avoir abandonné l’école au moment du suivi. Ils ont également signalé une augmentation degré de satisfaction à l’égard de la vie. Il est important de noter qu’il n’y a pas de la preuve que les effets positifs sur les bénéficiaires ont été aux dépens des non-bénéficiaires. Le programme était efficace pour retarder le mariage ou les fiançailles des filles. Filles qui ont bénéficié d’un programme de bourses d’études étaient 49 % moins susceptibles de se marier au cours de l’été suivant leur troisième année d’études secondaires et 30 % moins susceptibles d’être fiancé. L’intervention a permis d’améliorer l’éducation et la aspirations professionnelles pour eux-mêmes et pour leurs parents aspirations pour leur fille, vraisemblablement en raison des changements le capital humain et les préférences des filles. Ces résultats suggèrent que les effets de l’intervention sont susceptibles de durer au-delà de la simple durée de la bourse.en-USCC BY-NC 3.0 IGOCHILD MARRIAGEGIRLSNIGERSCHOLARSHIP-BASED INTERVENTIONEDUCATIONAFRICA GENDER POLICYGENDER INNOVATION LABWOMEN AND YOUTH EMPLOYMENTWOMEN AND SOCIAL NORMSSchoolgirls Not BridesDes écolières, pas des mariéesBriefWorld BankSecondary Education as a Shield Against Child MarriageL’enseignement secondaire comme rempart contre le mariage des enfants10.1596/41041